Catégories
tribune magazine municipal tribune web

Maintenons le Terrain d’insertion temporaire (TIT) pour les Roms à Saint-Herblain !

Les travaux du terrain d’insertion temporaire sur le site de l’Ormelière destiné à accueillir les Roms à Saint-Herblain viennent d’être arrêtés.

Le permis accordé par le maire a été suspendu par le Conseil d’État à la demande d’associations de riverains. D’après lui, le projet comportant quinze mobil-homes, ne pourrait s’implanter dans cette zone (classée Acl4 par le plan local d’urbanisme métropolitain) destinée à accueillir des équipements d’intérêt collectif et de services publics.

Nous, élus Saint Herblain en Commun continuons de soutenir ce projet permettant d’accueillir les Roms. Nous comprenons néanmoins les riverains et les associations qui, comme nous, ont déploré la communication inexistante de la ville en amont. Nous avions alerté le maire sur la nécessité d’associer tous les riverains ainsi que les bénévoles qui interviennent déjà sur les bidonvilles et qui connaissent la réalité.

Lors de la réunion publique du 2 mars 2023, la majorité rappelait : « Il s’agit en effet, pour la ville de Saint-Herblain de contribuer à l’effort intercommunal en proposant l’installation de terrains d’insertion temporaires pour les publics migrants d’Europe de l’Est. Il s’agit de participer à la résorption des campements illicites ».

Le projet engage la ville vis-à-vis de la Métropole et de tous les autres partenaires. Les Herblinoises et Herblinois animés par les valeurs d’humanité, de solidarité et du vivre ensemble sont attachés à l’aboutissement de ce projet.

Les élues et élus Saint-Herblain En Commun demandent au maire de prendre rapidement l’initiative d’une modification simplifiée du Plan Local d’Urbanisme Métropolitain, comme l’y autorise le code de l’urbanisme, afin de régulariser l’aménagement du terrain d’insertion temporaire et de sécuriser dès à présent celui du second.

Catégories
Presse tribune web

Une naissance = un arbre : bonne idée ou greenwashing ?

Rare sont les mouvements ou élu.e.s politiques qui ne se désignent pas aujourd’hui « écologistes ». Et les solutions les plus simples médiatiquement, qui dépolitisent la question écologique, sont mises en avant.

Ainsi planter des arbres est devenu une activité en vogue dans les mairies. La nôtre le met en œuvre au bout de 2 ans avec l’idée d’une naissance = un arbre.

A première vue, l’intention est louable. Les bénéfices des arbres sont multiples : lutte contre la pollution atmosphérique, l’accumulation de chaleur en ville, la restauration des sols dégradés et la prévention des sécheresses et des inondations, stockage de CO2 et dimension pédagogique en reconnectant les gens à la nature. Mais une telle démarche quantitative (6000 arbres plantés d’ici 4 ans) peut vite relever de l’écologie d’apparat. Car, il ne suffit pas de planter de jeunes arbres pour métamorphoser des espaces urbains émissifs et saturés en puits de carbone luxuriant et ombragés. Ainsi, si leur nombre est un facteur important, le choix des espèces, la maturité des arbres et leur santé ainsi que leurs interactions avec le sol le sont également. Nous serons très vigilant.es à ce sujet.

Planter un arbre ne doit pas devenir une caution verte.

Enfin, il faut avant tout lutter contre les origines de la chaleur : trouver un autre revêtement pour les chaussées, supprimer la climatisation excessive de certains bâtiments aux couleurs foncées en les transformant en bâtiments blancs ou en végétalisant leurs façades et toits…. Et surtout arrêter de bétonner. Quant au CO2, il faut réduire drastiquement la voiture en ville en favorisant les transports en commun et les déplacements à pied ou à vélo.

Face au péril écologique, mettre en œuvre une politique écologique nécessite de véritables engagements de rupture décidés avec l’ensemble des habitant.e.s à travers une information scientifique de la réalité de la crise écologique et des choix préconisés.

Catégories
Presse tribune magazine municipal tribune web

Décroissance choisie ou décroissance forcée

Décidons ensemble une décroissance organisée et partagée.

En 2022, les Français consomment une énergie provenant à 46 % d’énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon), 40 % de nucléaire et 14 % d’énergies renouvelables.

Cette dépendance aux énergies fossiles est catastrophique du point de vue climatique. Malgré les engagements pris lors de la COP21, la France a déjà été condamnée 2 fois pour “inaction climatique”. Avec la guerre en Ukraine, les prix de ces ressources ont augmenté, provoquant une crise de l’énergie.

Le nucléaire, miroir aux alouettes de l’indépendance énergétique française, est bien loin d’être écologique et durable. Dépendant de l’uranium (non renouvelable produit au Niger par ex), ses déchets restent dangereux des milliers d’années une fois stockés (faute de traitement ou de recyclage, n’en déplaise au lobby nucléo-industriel). Sans parler de la menace d’un accident ou d’une attaque…

Il reste donc le “renouvelable” comme le photovoltaïque ou l’éolien. Si ces énergies sont les plus “propres” et à développer pour réduire nos émissions, elles nécessitent l’emploi de grande quantité de ressources non renouvelables dont l’extractivisme est catastrophique écologiquement et socialement (aluminium, cuivre, acier, béton…).

Ainsi, il n’existe pas de solution magique pour maintenir le mode de vie que nous avons connu ces dernières décennies. La seule solution pour envisager l’avenir, c’est de consommer moins.

Cette décroissance, nous la souhaitons organisée démocratiquement et égalitaire. Ce n’est pas celle imposée d’en haut par une minorité qui continuerait à vivre dans l’abondance des émissions de GES.

Réduire la place de la voiture, l’éclairage public et les panneaux lumineux, isoler les bâtiments… La situation ne permet plus de tergiverser. Seuls des choix courageux permettront à toutes et tous de passer des hivers au chaud et des étés au frais.

Catégories
Presse tribune web

Nous devons soutenir davantage les quartiers de Bellevue et du Sillon

Nous élu-e-s du Groupe Saint-Herblain En Commun voulons attirer l’attention sur Bellevue et le Sillon de Bretagne. Ils nécessitent une attention particulière. Des habitantes et habitants de ces quartiers, des professionnels aussi, sont confrontés à des difficultés dans leur quotidien qui doivent nous interroger sur le soutien à apporter.

Bellevue, comme le Sillon, bénéficient d’un centre socioculturel qui propose des activités avec et pour les habitant-e-s. Certains professionnels de ces centres sont en situation de souffrance au travail avec des situations alarmantes relayées par des représentants du personnel alertent. La mairie doit apporter des réponses. 

Il nous semble également nécessaire d’accompagner davantage les habitant-e-s qui s’investissent bénévolement pour décider et soutenir les actions à mener. C’est dans la discussion que nous trouverons des solutions loin des mises à l’écart ou des coups de mentons.

Les réponses sont d’abord sociales et éducatives sans exclure des mesures judiciaires quand elles sont nécessaires. Nous pensons que les éducateurs de prévention spécialisée doivent être plus nombreux.

A ce titre, étant donné qu’il s’agit d’une compétence prioritaire du département, nous allons saisir le président du Département pour demander des moyens supplémentaires, en espérant être soutenus par les élu-e-s herblinois qui siègent au conseil départemental.

En complément, un travail de médiation doit s’intensifier pour soutenir les parents, pour accompagner les jeunes. Rappelons nous toujours que les jeunes ne sont pas d’abord un problème mais une partie de la solution.

Et, parce que nous croyons à la cohérence et à la complémentarité, nous demandons avec les enseignants et parents d’élèves de Nelson Mandela que cette école passe en dispositif REP+ pour avoir plus d’enseignant-e-s et des dédoublements de classe.

Nous resterons toujours mobilisé-e-s pour participer à des solutions durables.

Catégories
Presse tribune web

L’école Mandela doit être en REP+ dès la rentrée 2022

L’école de l’Angevinière était dans le dispositif du Réseau d’Education Prioritaire (REP). En 2014, sous le gouvernement Hollande, la nouvelle école du quartier, Nelson Mandela, en remplacement de l’Angevinière, a perdu ce statut.

Malgré les souhaits de mixité sociale, celle-ci est demeurée un vœu pieu.

Aujourd’hui, l’école regroupe pour la majorité des effectifs, les enfants du Sillon de Bretagne. Les faibles revenus des ménages, en baisse depuis 2018, justifient son statut de quartier politique de la ville. 

Ces inégalités sociales se ressentent fortement au niveau de la scolarité.

Ainsi le taux de retard à l’entrée en 6e des élèves du Sillon de Bretagne au 1er janvier 2020 était de 37,5 % contre  9,5 % à l’échelle de la Ville de Saint-Herblain et 5,7 % à l’échelle de la métropole.

L’absence du statut REP+ pour cette école lui interdit de bénéficier durablement des moyens financiers et humains nécessaires (dédoublement des classes…) à la lutte contre l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire de ces enfants herblinois.

Les nouveaux Contrats Locaux d’Accompagnement ne sont qu’un pis aller sans engagement durable.

Face à cette situation, les parents et personnels de l’Éducation se mobilisent afin d’obtenir la réintégration de l’école Nelson Mandela en REP+ dès la rentrée 2022.

Ceci a été possible en 2015 pour les écoles nantaises d’Urbain Le Verrier et la Bottière. Mais uniquement grâce à une forte mobilisation des parents, des personnels de l’Education et de l’intervention énergique des élu.e.s. Nantais.e.s

Aussi nous appelons l’ensemble des élu.e.s du conseil municipal, ainsi que les herblinois.e.s attaché.e.s aux principes d’égalité, à se mobiliser, avec les parents, les personnels de l’Éducation, les syndicats jusqu’à la réintégration de l’école Nelson Mandela en REP+.

« Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu » (Bertold Bretch)

Catégories
Presse tribune magazine municipal tribune web

Budget 2022 : plus frileux qu’ambitieux !

Le budget de la Ville de Saint-Herblain pour 2021 était d’environ 99 millions d’euros provenant pour l’essentiel des impôts, des contributions des usagers et taxes mais aussi des dotations diverses de l’État, des collectivités dont Nantes Métropole. Ce budget permet de financer les dépenses de fonctionnement de la ville pour ⅔ du budget et des dépenses d’investissement pour l’autre tiers. Ces dépenses engagées dans le mandat précédent, devaient servir à réaliser divers travaux : salle associative Bergerie, Orvasserie, Vigneau, groupes scolaires des Buzardières et Beauregard, Gymnase Renan et vestiaires piscine. Les subventions aux associations et établissements publics, CCAS compris, représentent environ 4,64 M€.

Au-delà de l’outil technique et financier qu’il constitue, le budget est aussi le reflet d’une action et d’une volonté politiques plus ou moins affichées. Les “Projets du mandat” pour le budget 2022 (plus de 103 millions d’euros) sont trop flous pour y accorder du crédit. On peut toutefois affirmer avec certitude qu’il n’y a aucune ligne sur le climat, l’écologie et la biodiversité. C’est un comble pour une majorité qui se veut verte et solidaire. La réponse invariable de la majorité est : “l’écologie est partout”. A l’inverse, la majorité claironne à qui veut l’entendre que le niveau d’épargne est confortable grâce à sa bonne gestion. Il est vrai que les recettes courantes sont engrangées. La Ville bénéficie d’un contexte favorable dû aux droits de mutation exceptionnels, de la revalorisation des bases fiscales et de la bonne dynamique des recettes de la CAF.

Au lieu de profiter des taux bas pour emprunter et réaliser des investissements d’avenir pour la ville, la majorité se désendette. Il faut à Saint-Herblain moins d’un an d’épargne brute pour rembourser sa dette, contre 5,38 ans en moyenne pour les communes de même taille en 2020. Le seuil d’alerte est fixé à 12 ans. Saint-Herblain se prive ainsi d’une opportunité que les Herblinoises et les Herblinois pourraient payer cher les années à venir, en période de vaches maigres.

Catégories
Presse tribune web

Quel avenir pour Preux et la Crémetterie ?

Nous sommes toutes et tous intimement, voire viscéralement, attaché·e·s à notre lieu de vie. Quand il y a des dizaines d’années que l’on y réside, notre habitat, notre quartier, son école ou sa passerelle deviennent des symboles.

Même si elle est nécessaire, chaque évolution doit être prudemment conduite et de façon largement concertée. Une réunion d’information ne constitue pas une concertation. Celle-ci exige que les habitantes et habitants soient réellement écouté·e·s et impliqué·e·s à la décision.

Les associer à la décision ne consiste pas en une réunion en visioconférence réalisée en pleine pandémie du Covid 19, et suivie d’une réunion publique pour acter les choix de la municipalité. Nous nous faisons une autre idée de la démocratie !

Les solutions existent pour une circulation douce, un maintien des espaces verts, des terrains de sport ou de jeux pour les enfants. Elles émergeront avec votre concours.

Nous, les élu·e·s du groupe Saint Herblain en Commun vous invitons à venir échanger avec nous et les membres de notre association, le samedi 11 décembre de 10h à 12h, à côté de La Poste Neruda.

“Ensemble, faisons en sorte que vous soyez mieux écoutés et que rien ne se fasse sans vous”.

Catégories
Presse tribune web Uncategorized

Une rentrée placée sous le signe de l’attente !

Nous, élu-e-s de Saint-Herblain en Commun, avons construit un état des lieux sur les manques et les dysfonctionnements dans les écoles et formulé des propositions. Nos prises de parole, nos contacts avec les enseignant-e-s et les parents d’élèves ont entraîné des actions. La rentrée scolaire s’est mieux passée que l’an dernier et les travaux significatifs que nous demandions ont été réalisés.

En cette rentrée, nous constatons que nombre de familles hésitent à inscrire leurs enfants à des activités faute de moyens et parce qu’il y a l’incertitude du Covid. Pour maintenir l’offre, nous proposons qu’un choix soit possible entre des tarifications à l’année, particulièrement quand des licences sportives sont en jeu, et une tarification au trimestre ou au semestre quand les usagers hésitent à s’engager. Des associations ont déjà adopté ce mode de faire. La commune peut accompagner cette innovation en soutenant financièrement le risque à prendre. Dans un an, ce nouveau fonctionnement serait soumis à un retour d’expérience collectif pour en améliorer l’usage.

En cette rentrée aussi, nous ne voyons toujours rien venir sur le sujet de l’écologie à Saint-Herblain. « Nous devons produire sainement et consommer local, manger autrement… », inscrivait la majorité dans son programme de campagne. Cela nécessiterait de recréer des sites d’exploitation agricole sur la commune. Nous le répétons depuis plusieurs années : en bordure du Cours Hermeland, il est possible de remettre des friches en culture. Ne mettre que quelques vaches à brouter, c’est de la décoration !

En cette rentrée enfin, parce que notre contact régulier avec les associations, les centres socioculturels, notre présence sur le terrain pour rencontrer les Herblinoises et Herblinois sont essentiels à notre rôle d’élu.e.s, nous mettons en place des permanences sur les quartiers de Saint-Herblain chaque deuxième samedi du mois, de 10h à 12h. Retrouvez les infos sur : www.elus.saintherblainencommun.fr.

Catégories
Presse tribune web

L’écologie démocratique progresse

Le 27 juin, 47,89 % des votant·es de Saint-Herblain Ouest ont fait confiance aux candidat·es Écologistes et Citoyens qui se sont présenté·es aux élections sur le canton Saint-Herblain 1 (qui comprend aussi les communes d’Indre, Couëron et Sautron).

Nous félicitons les 5 élu-e-s écologistes qui entrent au sein du Conseil Départemental.

En dépit de notre mobilisation sur le terrain, trop peu de citoyennes et de citoyens ont perçu les enjeux de ces 2 votes. Il s’agit d’un échec collectif qui questionne fortement le fonctionnement de notre démocratie représentative. Nous sommes indigné·es de la faillite de l’État dans la distribution du matériel électoral. Être informé·e en amont des élections sur les candidat·es et leurs programmes est un droit pour chacun, qui s’est retrouvé bafoué par l’abandon du service public postal.

Malgré tout, nous sommes fièr·es du programme Écologiste et Démocratique que nous avons soutenu, de la campagne menée auprès des habitant·es en tenant compte de la pandémie des réponses apportées pour Saint-Herblain. Seulement 165 voix séparent les candidat·es Écologistes du tandem Grelaud-Corouge sur la partie herblinoise. Ce résultat confirme la dynamique et l’ancrage de l’écologie politique sur notre commune. Il nous encourage à être toujours plus en lien avec les habitant·es pour les élections à venir en répondant aux urgences climatique et sociale.

Températures qui explosent, inondations… le dérèglement climatique s’illustre en Allemagne, en Belgique, au Canada, mais aussi en France. Les choix du gouvernement ne sont pas à la hauteur. 

En parallèle, le taux de pauvreté poursuit son augmentation. Les associations caritatives font face à un afflux inédit de demandes. 

L’écologie politique apporte des solutions à ces défis !

Les résultats des derniers scrutins démontrent une envie de changement. Cette dynamique résonne avec l’élan collectif des écologistes aux régionales.

Aujourd’hui et demain, vous pourrez compter sur nous.

Retrouvez la tribune en PDF

Catégories
Presse tribune web

CHU : pour un véritable service public de santé

Dans notre programme, nous portions le projet d’une ville qui offre un accès universel à toutes les formes de soin. Nous voulions faire évoluer le service de soins infirmiers à domicile pour prendre en compte le vieillissement de la population, développer des ateliers santé ville dans tous les quartiers en adaptant les thématiques aux besoins identifiés et créer un pôle d’urgence de soins sur Saint-Herblain pour le Nord-Ouest de l’agglomération. 

Lors du conseil municipal du 15 février, nous avons interpellé le Maire sur le sujet du CHU afin d’étudier conjointement le projet de transfert (qui prévoit la suppression de l’hôpital Laënnec) et formuler des propositions pour Saint-Herblain. Le maire a préféré faire cavalier seul et en informer la presse. 

Ce projet d’un CHU centralisé, plus petit, avec moins de personnel soignant et moins de lits va à l’encontre des besoins en santé publique du territoire, amplifiés par la crise sanitaire et sociale. Sa situation géographique est non seulement aberrante mais aussi catastrophique financièrement : accès à l’île, risques d’inondation aggravés par le réchauffement climatique, déminage suite à la découverte de bombes… D’ailleurs, le projet sera en partie financé par la revente des terrains de l’hôpital Laënnec de Saint-Herblain ! 

Avec le collectif “Stop transfert CHU”, nous, élu·e·s du Groupe Saint-Herblain en Commun, demandons la mise en pause immédiate du projet pour le remettre en débat et trouver une meilleure solution ensemble. L’accès au service public de santé est un véritable sujet de participation citoyenne.  

Jusqu’au 8 juin, le collectif organise « les mardis de la santé« . Ces ateliers en visioconférence puis en présentiel, permettent à chacune et chacun de s’exprimer sur la santé et l’hôpital public, mais aussi de porter des propositions à la hauteur des besoins de la population et des enjeux de demain. 

L’hôpital doit rester un service public universel et accessible. 

>> Retrouvez la tribune en PDF