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C’est pas l’aile ou a cuisse !

C’est ainsi que le maire avait réagi, lors du conseil municipal du 15 avril dernier, quand notre groupe a argumenté son opposition à la construction d’une cuisine centrale censée préparer jusqu’à 10 000 repas par jour pour les élèves de la ville et ceux de La Chapelle-sur-Erdre et Orvault.

Parallèlement, au déploiement de ce projet hors-sol, nous allons voter le périmètre du PEAN (Périmètre de protection et de mise en valeur des espaces agricoles et naturels périurbains).  Qu’est-ce que cela dit de la vision de la majorité ? 

Le PEAN est censé faciliter l’installation de nouveaux agriculteurs pour développer les circuits alimentaires de proximité (notamment à travers la commande publique), ce que nous appelons de nos vœux. 

Mais nourrir 10 000 jeunes chaque jour nécessite 1 à 2 tonnes de viande par jour et encore plus de légumes. Comment croire que les fermes locales – pourtant intéressées par la fourniture de restaurations collectives – pourront répondre à la commande publique avec de telles quantités ? Notre groupe alerte sur l’inévitable recours à l’agro-industrie. 

Pour “favoriser une meilleure alimentation” tel que prévu dans le projet éducatif de territoire herblinois, nous continuons de demander une restauration fabriquée dans chaque groupe scolaire, redonnant ainsi un vrai rôle aux équipes de restauration. Car c’est dans le contact avec les lieux de production de notre alimentation que s’éduquent nos goûts, le respect du vivant et des espaces naturels et agricoles.

Notre commune pourrait, au moins, faire l’expérimentation avec une école (comme c’est le cas à Romainville).

Nous invitons d’ailleurs toutes celles et ceux intéressés par des expériences de cantines à petite échelle – et pas plus cher pour les familles – à nous rejoindre pour une projection-débat en présence de l’association “Les pieds dans l’plat” qui accompagne l’installation de cantines bio et locales. Elle aura lieu samedi 25 janvier, de 9h30 à 12h, au au Carré des Services.

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La limite d’une Délégation de Service Public dans le secteur de la petite enfance

Nous savons que le secteur de la petite enfance, comme d’autres, est en crise mais cela ne peut pas tout excuser. Taux d’occupation à 40 %, abandon des repas préparés sur place, plages horaires réduite… sans parler des sévères critiques adressées par la PMI (défaut d’encadrement, manque de jeux à disposition des enfants, entretien et hygiène insuffisant). Le dernier rapport d’activité du délégataire de service public Babilou pour la crèche de la Pelousière est salé, poussant la mairie à mettre en place des pénalités.

Malgré ses difficultés de recrutement et de gestion, l’entreprise Babilou a présenté de nouveau sa candidature lors de la consultation du renouvellement de marché pour la période 2025-2029. Sur le papier, l’entreprise a, une fois encore, rendu l’offre “la mieux disante”.

C’est donc en connaissance de cause, que la majorité du conseil municipal du 7 octobre 2024 validera son renouvellement de la délégation de service public de la crèche quartier de la Pelousière à l’opérateur privé Babilou.

Il ne nous reste plus qu’à exiger une reprise en main de la part du délégataire pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre de la délégation de service public, sans quoi la commune appliquera des pénalités. Mais ce que nous voulons pour les familles herblinoises, ce ne sont pas des pénalités, c’est du service public, de l’accueil de jeunes enfants de qualité, fiable, suffisant et en confiance.

Bien-sûr, mieux vaut « fermer des berceaux » par manque de personnel que mettre en danger les jeunes enfants comme les enquêtes récentes dans d’autres DSP l’ont soulevé mais on arrive au bout d’une logique « économique », qui ne tient plus vraiment (le coût du berceau chez Babilou pouvant atteindre un montant très proche du niveau du public).

Nous le répétons depuis le début du mandat, il faut ouvrir au moins 2 crèches publiques rapidement pour répondre aux besoins des familles sans subir les défauts de gestion d’une entreprise délégataire à but lucratif.

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Maintenons le Terrain d’insertion temporaire (TIT) pour les Roms à Saint-Herblain !

Les travaux du terrain d’insertion temporaire sur le site de l’Ormelière destiné à accueillir les Roms à Saint-Herblain viennent d’être arrêtés.

Le permis accordé par le maire a été suspendu par le Conseil d’État à la demande d’associations de riverains. D’après lui, le projet comportant quinze mobil-homes, ne pourrait s’implanter dans cette zone (classée Acl4 par le plan local d’urbanisme métropolitain) destinée à accueillir des équipements d’intérêt collectif et de services publics.

Nous, élus Saint Herblain en Commun continuons de soutenir ce projet permettant d’accueillir les Roms. Nous comprenons néanmoins les riverains et les associations qui, comme nous, ont déploré la communication inexistante de la ville en amont. Nous avions alerté le maire sur la nécessité d’associer tous les riverains ainsi que les bénévoles qui interviennent déjà sur les bidonvilles et qui connaissent la réalité.

Lors de la réunion publique du 2 mars 2023, la majorité rappelait : « Il s’agit en effet, pour la ville de Saint-Herblain de contribuer à l’effort intercommunal en proposant l’installation de terrains d’insertion temporaires pour les publics migrants d’Europe de l’Est. Il s’agit de participer à la résorption des campements illicites ».

Le projet engage la ville vis-à-vis de la Métropole et de tous les autres partenaires. Les Herblinoises et Herblinois animés par les valeurs d’humanité, de solidarité et du vivre ensemble sont attachés à l’aboutissement de ce projet.

Les élues et élus Saint-Herblain En Commun demandent au maire de prendre rapidement l’initiative d’une modification simplifiée du Plan Local d’Urbanisme Métropolitain, comme l’y autorise le code de l’urbanisme, afin de régulariser l’aménagement du terrain d’insertion temporaire et de sécuriser dès à présent celui du second.

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Une naissance = un arbre : bonne idée ou greenwashing ?

Rare sont les mouvements ou élu.e.s politiques qui ne se désignent pas aujourd’hui « écologistes ». Et les solutions les plus simples médiatiquement, qui dépolitisent la question écologique, sont mises en avant.

Ainsi planter des arbres est devenu une activité en vogue dans les mairies. La nôtre le met en œuvre au bout de 2 ans avec l’idée d’une naissance = un arbre.

A première vue, l’intention est louable. Les bénéfices des arbres sont multiples : lutte contre la pollution atmosphérique, l’accumulation de chaleur en ville, la restauration des sols dégradés et la prévention des sécheresses et des inondations, stockage de CO2 et dimension pédagogique en reconnectant les gens à la nature. Mais une telle démarche quantitative (6000 arbres plantés d’ici 4 ans) peut vite relever de l’écologie d’apparat. Car, il ne suffit pas de planter de jeunes arbres pour métamorphoser des espaces urbains émissifs et saturés en puits de carbone luxuriant et ombragés. Ainsi, si leur nombre est un facteur important, le choix des espèces, la maturité des arbres et leur santé ainsi que leurs interactions avec le sol le sont également. Nous serons très vigilant.es à ce sujet.

Planter un arbre ne doit pas devenir une caution verte.

Enfin, il faut avant tout lutter contre les origines de la chaleur : trouver un autre revêtement pour les chaussées, supprimer la climatisation excessive de certains bâtiments aux couleurs foncées en les transformant en bâtiments blancs ou en végétalisant leurs façades et toits…. Et surtout arrêter de bétonner. Quant au CO2, il faut réduire drastiquement la voiture en ville en favorisant les transports en commun et les déplacements à pied ou à vélo.

Face au péril écologique, mettre en œuvre une politique écologique nécessite de véritables engagements de rupture décidés avec l’ensemble des habitant.e.s à travers une information scientifique de la réalité de la crise écologique et des choix préconisés.

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Décroissance choisie ou décroissance forcée

Décidons ensemble une décroissance organisée et partagée.

En 2022, les Français consomment une énergie provenant à 46 % d’énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon), 40 % de nucléaire et 14 % d’énergies renouvelables.

Cette dépendance aux énergies fossiles est catastrophique du point de vue climatique. Malgré les engagements pris lors de la COP21, la France a déjà été condamnée 2 fois pour “inaction climatique”. Avec la guerre en Ukraine, les prix de ces ressources ont augmenté, provoquant une crise de l’énergie.

Le nucléaire, miroir aux alouettes de l’indépendance énergétique française, est bien loin d’être écologique et durable. Dépendant de l’uranium (non renouvelable produit au Niger par ex), ses déchets restent dangereux des milliers d’années une fois stockés (faute de traitement ou de recyclage, n’en déplaise au lobby nucléo-industriel). Sans parler de la menace d’un accident ou d’une attaque…

Il reste donc le “renouvelable” comme le photovoltaïque ou l’éolien. Si ces énergies sont les plus “propres” et à développer pour réduire nos émissions, elles nécessitent l’emploi de grande quantité de ressources non renouvelables dont l’extractivisme est catastrophique écologiquement et socialement (aluminium, cuivre, acier, béton…).

Ainsi, il n’existe pas de solution magique pour maintenir le mode de vie que nous avons connu ces dernières décennies. La seule solution pour envisager l’avenir, c’est de consommer moins.

Cette décroissance, nous la souhaitons organisée démocratiquement et égalitaire. Ce n’est pas celle imposée d’en haut par une minorité qui continuerait à vivre dans l’abondance des émissions de GES.

Réduire la place de la voiture, l’éclairage public et les panneaux lumineux, isoler les bâtiments… La situation ne permet plus de tergiverser. Seuls des choix courageux permettront à toutes et tous de passer des hivers au chaud et des étés au frais.

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Nous devons soutenir davantage les quartiers de Bellevue et du Sillon

Nous élu-e-s du Groupe Saint-Herblain En Commun voulons attirer l’attention sur Bellevue et le Sillon de Bretagne. Ils nécessitent une attention particulière. Des habitantes et habitants de ces quartiers, des professionnels aussi, sont confrontés à des difficultés dans leur quotidien qui doivent nous interroger sur le soutien à apporter.

Bellevue, comme le Sillon, bénéficient d’un centre socioculturel qui propose des activités avec et pour les habitant-e-s. Certains professionnels de ces centres sont en situation de souffrance au travail avec des situations alarmantes relayées par des représentants du personnel alertent. La mairie doit apporter des réponses. 

Il nous semble également nécessaire d’accompagner davantage les habitant-e-s qui s’investissent bénévolement pour décider et soutenir les actions à mener. C’est dans la discussion que nous trouverons des solutions loin des mises à l’écart ou des coups de mentons.

Les réponses sont d’abord sociales et éducatives sans exclure des mesures judiciaires quand elles sont nécessaires. Nous pensons que les éducateurs de prévention spécialisée doivent être plus nombreux.

A ce titre, étant donné qu’il s’agit d’une compétence prioritaire du département, nous allons saisir le président du Département pour demander des moyens supplémentaires, en espérant être soutenus par les élu-e-s herblinois qui siègent au conseil départemental.

En complément, un travail de médiation doit s’intensifier pour soutenir les parents, pour accompagner les jeunes. Rappelons nous toujours que les jeunes ne sont pas d’abord un problème mais une partie de la solution.

Et, parce que nous croyons à la cohérence et à la complémentarité, nous demandons avec les enseignants et parents d’élèves de Nelson Mandela que cette école passe en dispositif REP+ pour avoir plus d’enseignant-e-s et des dédoublements de classe.

Nous resterons toujours mobilisé-e-s pour participer à des solutions durables.

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L’école Mandela doit être en REP+ dès la rentrée 2022

L’école de l’Angevinière était dans le dispositif du Réseau d’Education Prioritaire (REP). En 2014, sous le gouvernement Hollande, la nouvelle école du quartier, Nelson Mandela, en remplacement de l’Angevinière, a perdu ce statut.

Malgré les souhaits de mixité sociale, celle-ci est demeurée un vœu pieu.

Aujourd’hui, l’école regroupe pour la majorité des effectifs, les enfants du Sillon de Bretagne. Les faibles revenus des ménages, en baisse depuis 2018, justifient son statut de quartier politique de la ville. 

Ces inégalités sociales se ressentent fortement au niveau de la scolarité.

Ainsi le taux de retard à l’entrée en 6e des élèves du Sillon de Bretagne au 1er janvier 2020 était de 37,5 % contre  9,5 % à l’échelle de la Ville de Saint-Herblain et 5,7 % à l’échelle de la métropole.

L’absence du statut REP+ pour cette école lui interdit de bénéficier durablement des moyens financiers et humains nécessaires (dédoublement des classes…) à la lutte contre l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire de ces enfants herblinois.

Les nouveaux Contrats Locaux d’Accompagnement ne sont qu’un pis aller sans engagement durable.

Face à cette situation, les parents et personnels de l’Éducation se mobilisent afin d’obtenir la réintégration de l’école Nelson Mandela en REP+ dès la rentrée 2022.

Ceci a été possible en 2015 pour les écoles nantaises d’Urbain Le Verrier et la Bottière. Mais uniquement grâce à une forte mobilisation des parents, des personnels de l’Education et de l’intervention énergique des élu.e.s. Nantais.e.s

Aussi nous appelons l’ensemble des élu.e.s du conseil municipal, ainsi que les herblinois.e.s attaché.e.s aux principes d’égalité, à se mobiliser, avec les parents, les personnels de l’Éducation, les syndicats jusqu’à la réintégration de l’école Nelson Mandela en REP+.

« Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu » (Bertold Bretch)

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Budget 2022 : plus frileux qu’ambitieux !

Le budget de la Ville de Saint-Herblain pour 2021 était d’environ 99 millions d’euros provenant pour l’essentiel des impôts, des contributions des usagers et taxes mais aussi des dotations diverses de l’État, des collectivités dont Nantes Métropole. Ce budget permet de financer les dépenses de fonctionnement de la ville pour ⅔ du budget et des dépenses d’investissement pour l’autre tiers. Ces dépenses engagées dans le mandat précédent, devaient servir à réaliser divers travaux : salle associative Bergerie, Orvasserie, Vigneau, groupes scolaires des Buzardières et Beauregard, Gymnase Renan et vestiaires piscine. Les subventions aux associations et établissements publics, CCAS compris, représentent environ 4,64 M€.

Au-delà de l’outil technique et financier qu’il constitue, le budget est aussi le reflet d’une action et d’une volonté politiques plus ou moins affichées. Les “Projets du mandat” pour le budget 2022 (plus de 103 millions d’euros) sont trop flous pour y accorder du crédit. On peut toutefois affirmer avec certitude qu’il n’y a aucune ligne sur le climat, l’écologie et la biodiversité. C’est un comble pour une majorité qui se veut verte et solidaire. La réponse invariable de la majorité est : “l’écologie est partout”. A l’inverse, la majorité claironne à qui veut l’entendre que le niveau d’épargne est confortable grâce à sa bonne gestion. Il est vrai que les recettes courantes sont engrangées. La Ville bénéficie d’un contexte favorable dû aux droits de mutation exceptionnels, de la revalorisation des bases fiscales et de la bonne dynamique des recettes de la CAF.

Au lieu de profiter des taux bas pour emprunter et réaliser des investissements d’avenir pour la ville, la majorité se désendette. Il faut à Saint-Herblain moins d’un an d’épargne brute pour rembourser sa dette, contre 5,38 ans en moyenne pour les communes de même taille en 2020. Le seuil d’alerte est fixé à 12 ans. Saint-Herblain se prive ainsi d’une opportunité que les Herblinoises et les Herblinois pourraient payer cher les années à venir, en période de vaches maigres.

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Quel avenir pour Preux et la Crémetterie ?

Nous sommes toutes et tous intimement, voire viscéralement, attaché·e·s à notre lieu de vie. Quand il y a des dizaines d’années que l’on y réside, notre habitat, notre quartier, son école ou sa passerelle deviennent des symboles.

Même si elle est nécessaire, chaque évolution doit être prudemment conduite et de façon largement concertée. Une réunion d’information ne constitue pas une concertation. Celle-ci exige que les habitantes et habitants soient réellement écouté·e·s et impliqué·e·s à la décision.

Les associer à la décision ne consiste pas en une réunion en visioconférence réalisée en pleine pandémie du Covid 19, et suivie d’une réunion publique pour acter les choix de la municipalité. Nous nous faisons une autre idée de la démocratie !

Les solutions existent pour une circulation douce, un maintien des espaces verts, des terrains de sport ou de jeux pour les enfants. Elles émergeront avec votre concours.

Nous, les élu·e·s du groupe Saint Herblain en Commun vous invitons à venir échanger avec nous et les membres de notre association, le samedi 11 décembre de 10h à 12h, à côté de La Poste Neruda.

“Ensemble, faisons en sorte que vous soyez mieux écoutés et que rien ne se fasse sans vous”.

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Une rentrée placée sous le signe de l’attente !

Nous, élu-e-s de Saint-Herblain en Commun, avons construit un état des lieux sur les manques et les dysfonctionnements dans les écoles et formulé des propositions. Nos prises de parole, nos contacts avec les enseignant-e-s et les parents d’élèves ont entraîné des actions. La rentrée scolaire s’est mieux passée que l’an dernier et les travaux significatifs que nous demandions ont été réalisés.

En cette rentrée, nous constatons que nombre de familles hésitent à inscrire leurs enfants à des activités faute de moyens et parce qu’il y a l’incertitude du Covid. Pour maintenir l’offre, nous proposons qu’un choix soit possible entre des tarifications à l’année, particulièrement quand des licences sportives sont en jeu, et une tarification au trimestre ou au semestre quand les usagers hésitent à s’engager. Des associations ont déjà adopté ce mode de faire. La commune peut accompagner cette innovation en soutenant financièrement le risque à prendre. Dans un an, ce nouveau fonctionnement serait soumis à un retour d’expérience collectif pour en améliorer l’usage.

En cette rentrée aussi, nous ne voyons toujours rien venir sur le sujet de l’écologie à Saint-Herblain. « Nous devons produire sainement et consommer local, manger autrement… », inscrivait la majorité dans son programme de campagne. Cela nécessiterait de recréer des sites d’exploitation agricole sur la commune. Nous le répétons depuis plusieurs années : en bordure du Cours Hermeland, il est possible de remettre des friches en culture. Ne mettre que quelques vaches à brouter, c’est de la décoration !

En cette rentrée enfin, parce que notre contact régulier avec les associations, les centres socioculturels, notre présence sur le terrain pour rencontrer les Herblinoises et Herblinois sont essentiels à notre rôle d’élu.e.s, nous mettons en place des permanences sur les quartiers de Saint-Herblain chaque deuxième samedi du mois, de 10h à 12h. Retrouvez les infos sur : www.elus.saintherblainencommun.fr.